Et Dans cette nuit noir, J’essayai de noyer mon désespoir, Pourquoi n’as-tu pas essayer de comprendre ? L’amour est un leure, Qui ma trop souvent fais peur. Alors j’évite de me laisser prendre. Essayes de parler à un étranger, Il ne te comprendra pas, J’ai longtemps été cet étranger, Qui ne te comprenais pas. Pourquoi n’as-tu pas essayer de me cerner ? Au lieu de me dire toutes ses choses insensés. L’amour est un sentiment La haine est son enfant. Je ne peut plus rêver dans ce monde sans ames, Je suis déjà en proie aux flammes J’y ai déjà brûler mon ame …..

D'une poétesse, j'en ai l'âme Tel un illustre quidam A mon âge, on peut me dire madame Non pas que je le réclame Au contraire, c'est mon drame Hélas, mon psychodrame Quand on me dit çà, à mon grand dam J'ai l'impression d'être ma mère, une dame Mais moi, je suis si jeune, je déclame Je veux le rester! Je proclame. Je ne veux pas vieillir, je brame De ma voix criarde. On sombre dans le mélodrame!

Tu as senti ce jour t’écraser,
Comme s’ il s’agissait du dernier.
Les larmes Profondes de ta conscience,
Ce fanèrent sur ton sort, tout en silence.
Je suis né avec la peur,
J’ai vécu dans la souffrance,
J’ai vieilli dans la douleur,
Je suis morte dans l’indifférence.

Pourquoi ce papillon éphémère si envoûtant
Était il dans le temps chenille ?
Faudrait il que nous revétions tous des guenilles,
Pour réalisé que jeunesse et beauté,
Ne sont que des apparats et pour si peu de temps….
Ah les humains et leur arrogante vanité !

Je suis une étrange étrangère face à la vie :
Elle, connaît tout de moi
Et moi je n’arrives pas à être son amie.
Pourtant, je l’espionne, comme ma proie.
Alors je survis, dans mon coma idyllique.
Ma vie est elle si dramatique ?
Faut il que je connaisse autant d’araignées
Pour être prise dans autant de toiles, sans pitié ….?
J’ai vu un mec aimer sa femme
Et y brûler son âme.
Fillette, peut tu passer entre les flammes ?
Marcher, seule ,sans but, mais dans quel but ?
Attendant la marche nuptiale,
Ou la marche funéraire
Laquelle est la plus brutale ?

Le seul regard qui nous juge avec total impartialité
Est celui de la fatalité.

J’aime être seul face à ce fantôme perdu,
Le seul qui n’ai aucune retenu:
Il traîne ces pieds enchaînés,
Avec la folie de cette liberté.
Regarde ses yeux entourés de cendres,
N’Ont-ils pas vécu sept vies toute réduites en cendres ….

l

J’ai vu la mort et son ombre,
Les ames et leurs souvenirs sombres.
La démence et sa quiétude,
La tristesse et sa solitude.
L’amour pur et sa haine,
La souffrance et sa peine.
La chaleur des corps en fureur,
Et leur morbide froideur.

Pourquoi donc toujours vouloir etre la pierre qui écrase le ciseau ?
Avec ou sans marbre, cette vie éphémère,
Nous présentera tous au même bourreau.
Saute à cloche pieds sur cette marrelle humaine,
Et si la pluie efface la craie,
Ferme les yeux et évade toi pour des courses lointaines.
Reste impassible face à ce torrent destructeur de vies,
Et laisse l’eau transformer cette vague tristesse en mélancolie.

Je vous le dit: je ne vieillirai pas de vieillesse.
La flamme s’épuisera
Et dans un dernier soupir de sagesse,
Je m’exclamerai, torturé encore par mes noires pensées.
«C’était le prix à payer»…

A Travers cette pénombre brumeuse, je l'aperçois.
N'importe qui peut deviner son visage.
Mais qui la voit vraiment?
Les larmes glissent, lentement, sur sa pale figure
Tel une vision, sortie de mon imagination.
Elle est Aussi imprévu que l'arc en ciel après l'orage.
Elle erre, telle une âme en peine,
le long de ces rues grise et indifférente à la souffrance humaine.
Les gens sont froid,
tout autant que ce triste matin d'hiver.
Elle illumine son visage d'un sourire attendant déséspérement un retour....
Mais les loups ne sourient pas aux agneaux.
Le soleil lui réponds,
lui envoie quelques rayons.
Un astre, une déesse,
Une entente enchanteresse.
Elle est la princesse de ces rues,
L'éclairci de cette amère solitude
Et dépasse le temps sans aucune amertume.....

27 Chéri, c’est fatidique,
La vie est une égoïste:
Tu lui donnes tout et elle ne te rend jamais rien.
Elle t’étreind au creux de ces bras,
Puis te jette comme un vieux Drap, Sans scrupules aucun.

La foule se dressent devant ce train lancer a toute vitesse.
Mais ils ne comprennent pas: Rien ne pourra l’arréter
Et ce plaisir suprême de dominer la peur,
Ne fera qu’augmenter les battements de son cœur.
Indifférence, malgré tout, tu essayes de rester là, avec eux.
Et lorsque tu avales ces quelques pillules magique,
Tu sais comme cette ambiance si sombre, peut devenir si transcendante.

Mets tes fourrures et dresse tes plus belle parures
Viens planer avec nous auprès des anges….
Mademoiselle Eva Gatellce Donnera le change.
Contre la neige et le vent
A travers la pluie et le beau temps,
Elle déchaîne les éléments
Et les faits siens tel un aimant.
A la manière d’une lionne qui protège ces lionceaux,
Tu peut etre sur qu’elle sera toujours là,
Pour te guider à travers ces pas.
Mais Lorsque la brise viendra faussement caresser tes cheveux,
Tu saura que son ame se tiend non loin
Voguant avec les esprits de ces anges mort Fabuleux….

Il ce tient là, statique, voguant à travers cette houle qui l’emporte au loin……

Comme l’impression d’avoir déjà tout vécu,

Mais il continu en vain à chercher.

De la vallée tu peut tout voir,

Tu peut même distinguer la mort.

Il arrive, surprotéger, mais tellement vulnérable.

Il c’est perdu sur la route tortueuse de la vie.

Tout va trop vite, s’accélère.

Un éclat, un flash puis le clash.

Quand tu sens la fin,

Tu n’y peut rien.

Viens aujourd’hui ou bien demain,

La porte sera toujours ouverte sur ton chemin,

Es tu seulement pret à lui tendre ta main ?

Jours étrange, au milieu de nulle part.

Quelqu’un t’observe,

Epi tes moindres gestes.

C’est elle.

L’entend tu arriver, Dans ce silence famillier ?

Oui, prends moi, Je me donne à toi.

Emporte moi,

Fais moi traverser toutes ces portes,

Je serai ton esclave et tu seras mon maître.

L’Ivresse est un bon déguisement,

Je bois pour pouvoir m’adresser aux connards

Dont je suis.

• Tu cherches toujours la sortie mais tu n’ouvres jamais les portes,

Tu te sens comme emprisonner,

Tu es là, observe, touche le fond,

Sans réel envie de te relever.

Tu sais nager mais tes bras ne bougent pas.

Les elfes te tendent la main, alors tu la saisi

Pars, loin avec elles.

C’est tellement plus excitant d’etre au pays imaginaire,

Plutôt que d’etre sur terre.

Dr Jekyl et Mr Hyde : Un jour l’un un jour l’autre.

Parce qu’il n’y a rien de plus jouissif que de toucher l’autre monde.

C’est un paradoxe: Cet avenir si incertain et cette fin qui n’est jamais loin. Bientôt, la fin.

Tu naît poussière et tu redeviendra poussière……

Ils  le disent. Moi je veut mourir dans les flammes.

J’ai essayer de changer, de tourner la page, mais c’est la page qui ne veut pas ce tourner.

Perdu dans ce désert de solitude. Flashback sur ta vie, qui défile, en accéléré, cette fois, c’est la bonne…..